Ici vous trouverez des réponses (non-exhaustives) aux questions les plus fréquemment posées pour vous fournir les informations dont vous avez besoin pour aller plus loin.

Bienvenue dans la FAQ

  • La littérature scientifique est très claire : nous avons notre avenir climatique entre nos mains. Nos actions individuelles et collectives peuvent opérer des changements dont nous tirerons les bénéfices rapidement.

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  • Non, alors ce n'est pas exactement ainsi que cela fonctionne. Les actions individuelles et collectives se combinent, plutôt que de s'additionner. Les actions individuelles peuvent également catalyser des changements collectifs. Répétons-le : nous avons besoin des deux pour réussir !

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  • La question de la surpopulation est fréquemment soulevée dans les débats. Cependant, selon certains spécialistes, cela ne devrait pas être la principale préoccupation en ce qui concerne le climat et l'impact des activités humaines sur les limites planétaires. En réalité, notre problème ne serait pas tant le nombre total d'habitants sur Terre, mais plutôt le mode de vie énergivore typique d'un Américain ou d'un Européen moyen, générant entre 20 et 12 tonnes d'équivalent CO2 par personne, tandis que l'objectif mondial devrait se situer à 2 tonnes par personne d'ici 2050.

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  • Pour bien comprendre ce que cela signifie et comprendre comment répondre à cette question, il faut bien comprendre l’aspect systémique de la crise climatique et du « triangle de l’incation ».

    En résumé, c’est à chacun·e des acteur·rice·s, tout le monde de faire des efforts, selon ses moyens. Bien sûr, des grandes entreprises et des gouvernements ont plus de pouvoir qu'une personne qui peine financièrement à finir le mois. C'est pour cela qu'on dit que le réchauffement climatique à une responsabilité commune, mais différenciée : tout le monde est responsable, mais pas au même niveau.

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  • Vous pouvez contribuer de diverses manières, de la sensibilisation à la participation à des initiatives locales. Consultez la page "Base de données  associations & organisations" pour découvrir les différentes options.

    Voir: Neo&Nea

  • Ce plan d'action climatique, élaboré par des experts pour les politiciens, propose une variété de réformes alignées sur les objectifs du GIEC et des Accords de Paris. Il fonctionne comme une encyclopédie de mesures, triées par thème, à explorer selon vos intérêts.

    Concentrez-vous sur les points qui vous concernent le plus, car chacun offre une introduction aux discussions sur des solutions climatiques. Bien que chaque point soit une excellente base, une recherche personnelle approfondie est recommandée. Utilisez-le comme votre guide de référence pour des discussions éclairées sur les problématiques climatiques.

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  • Pour répondre à cette question, nous devons prendre conscience d’abord que la technologie est omniprésente dans nos vies et il est difficile de s’en passer. Le système n’allant pas disparaître du jour au lendemain, deux étapes s’imposent.

    La première, c’est de comprendre comment ce système nous impose la technologie et à quel point il est difficile d’en échapper. La deuxième étape consiste à réfléchir de quelle façon ne pas perpétuer ce système mortifère et le changer.

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  • Adaptez votre approche en fonction de l'âge de l'enfant. Utilisez des ressources pédagogiques adaptées, discutez ouvertement de la nature et encouragez des activités pratiques, telles que des activités en lien avec la nature.

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  • Afin de répondre correctement à cette question il est important de remettre dans son contexte la situation actuelle et historique de chacune des nations. Et de répondre à ces trois questions: 1. Quel pays est le plus émetteur aujourd’hui ? 2. Quel pays à émit le plus au total ? 3. Quel pays émet le plus de CO2e par personne ?

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  • Considérons la France comme exemple. L'engagement envers la neutralité carbone est en réalité inscrit dans la loi. Lorsque la France prend des mesures efficaces pour le climat, cela peut déclencher une contagion positive dans d'autres pays. Un exemple récent ? L'interdiction des vols nationaux de moins de 2H30 a suscité une couverture internationale, poussant d'autres pays à envisager des mesures similaires.

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  • La science, les nombreux rapports du GIEC et les tendances pour ces 4 aléas climatiques sont très claires, avec une augmentation de la fréquence et de l’intensité.

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  • Non seulement le pari technologique est extrêmement risqué, mais actuellement, aucune preuve ne soutient la possibilité qu'une énergie propre puisse remplacer toutes les énergies existantes. De plus, le recours aux captations de carbone est très incertain et très couteux.

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  • Le consensus sur le réchauffement climatique est bien établi et sans équivoque. Depuis 2007, aucun organisme scientifique national ou international n'a contesté la responsabilité humaine dans ce réchauffement.

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  • Tout dépend de quoi on parle, mais surtout, le sujet, c’est la vitesse du changement actuel. L’ampleur des changements récents dans l’ensemble du système climatique et l’état actuel de nombreux aspects du système cli’années.

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  • La météo peut changer d'une heure à l'autre et d'un jour à l'autre, tandis que le climat, quant à lui, est étudié sur une période bien plus longue (30 ans). Par conséquent, ce n’est pas parce qu’un hiver est froid ou qu’un été n’est pas caniculaire qu’il n’y a pas de perturbations climatiques majeures.

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  • La transparence du GIEC est totale, et les auteurs sont bénévoles. Le budget annuel du GIEC varie entre 5 et 8 millions d'euros. Comparez cela aux dépenses annuelles de l'industrie fossile pour semer le doute (plusieurs milliards d’euros).

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  • Notamment sur le site Neo&Nea, vous trouverez plus de 150 actions individuelles et collectives qui font une différence.

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  • Alors pas exactement, la décroissance souhaite simplement qu’il soit possible pour l’humanité de vivre en respectant les 9 limites planétaires.

    Si nous regardons la définition suivante, nous pouvons observer que : “La décroissance est une réduction planifiée de l’utilisation de l’énergie et des ressources visant à rétablir l’équilibre entre l’économie et le monde du vivant, de manière à réduire les inégalités et à améliorer le bien-être de l’Homme.”- Jason Hickel

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  • Je vous encourage vivement le partage d'initiatives ! Contactez-moi via ma page "Contact" avec les détails de l'initiative, et je serai ravis de l'inclure dans la base de données.

  • L'éco-anxiété est une réponse compréhensible et normale face aux enjeux de la crise climatique. Il est essentiel de prendre des pauses quand nécessaire, de se concentrer sur les actions positives que vous entreprenez et de discuter de vos inquiétudes avec des amis, des proches ou des professionnels. La clé, c’est l’action.

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  • Concentrez-vous sur les actions concrètes que vous pouvez entreprendre au niveau individuel et collectif. Chaque geste compte, et ensemble, nous pouvons créer un impact significatif. Et par-dessus tout, entourez-vous de personnes motivés et dans l’action. Tout est loin d’être perdu !

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    • All we can save - Ayana Elizabeth Johnson and Dr. Katharine Wilkinson, 2020.

  • Choisissez des moments appropriés pour discuter, utilisez des exemples concrets et mettez l'accent sur les solutions et les actions positives. Encouragez un dialogue ouvert et respectueux.

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